Suite à un clin d’œil touchant et à l’ouverture de mon blog, je me devais ces quelques mots a propos d’une pratique qui à changé mon quotidien.
Beaucoup de choses ont été écrite à propos de la méthode de M.Akuzawa ces derniers temps.
Le précurseur en France fut et est Léo, grâce à qui j’ai découvert l’Aunkaï dans un de ses articles de la revue DRAGON, pour continuer ensuite à approfondir ce sujet sur son blog.
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Moi et Aunkai.
S’intéresser à un sujet, à une méthode corporelle de surcroit peut rester dans le domaine de l’interrogation intellectuelle et satisfaire une curiosité naissante. Mais je suis quelqu’un de tactile. J’aime sentir, expérimenter et ça m’aide à la compréhension. J’ai commencé donc à pratiquer tout seul, au milieu de mes étangs aux grand étonnement des chasseurs qui plusieurs fois ont faillit m’envoyer du plomb dans les fesses me confondant avec un héron! …
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Jusqu’au moment ou j’ai participé à une Master Class et cette expérience ma conforté dans mon intuition initiale. Issu d’une formation « traditionnelle ou prétendu telle », j’ai rarement vu privilégier le travail corporel global de cette manière dans une discipline crée dans le monde de l’art martial moderne.
Bien que l’expression et l’approche d’Akuzawa est en phase avec la communication contemporaine, sa méthode s’appuie sur la manière de formation basée sur les koryu et passe comme la plus spartiate parmi les nouvelles disciplines en vogue ces temps ci.
Chose étonnante, la technique de combat n’apparait ici que comme une application particulière et fortuite de ce travail de la corporéité.
Suite au Master Class et animé par une passion débordante, je me suis heurté à la pauvresse des supports multimédia à propos de cette méthode. Ne possédant que le seul DVD disponible sur le marché je cherchais un moyen qui pouvait m’aider à avancer dans ma pratique. Habitant « le fin fond de la campagne », je me trouvais également isolé comme un ermite dans le désert.
J’ai pris donc la décision de me filmer, ne dis t on pas que le miroir nous renvois notre propre image?
Et celà pour plusieurs raisons:
– comparer ma forme à celle d’Akuzawa
– repérer les défauts de ma structure
– garder une trace de ma progression
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J’ai également initié, suite à ma première rencontre avec Akuzawa, un sujet qui ne se voulait être au départ qu’un contre rendu du Master Class mais qui à ma grande surprise s’est transformé en un débat et à continué à être alimenté par d’autres passionnés.
Il forme aujourd’hui un sujet très riche sur Aunkai et a réussi le tour de force de rester en dehors de polémiques stériles.
A suivre….