Les vacances sont toujours des moments de détentes mais peuvent aussi, quand l’occasion le permet, être le lieu d’actions plus spécifiques. Mon séjour à Pornic fut l’occasion d’organiser un stage sur la plage de Boutinardière.
J’ai fut invité par deux fois déjà à Campbon, dans la région nantaise pour animer des stages d’Aunkai. Le groupe d’association Ar men, apprenant mon séjour estival dans le coin, ma demandé de prévoir un entraînement pour réviser les choses vues les dernières fois.
De l’envie d’un simple entraînement, c’est sur l’idée d’un stage sur une demi-journée que l’affaire fut entendue.
Initialement ils ne devaient être que quatre ou cinq alors qu’elle ne fut pas ma surprise de voir arriver huit irréductibles avec leurs serviettes de plage.
La moitié du stage portait sur la révision des différents tanren avec des corrections et précisions demandés. Et après une pause ponctuée par une baignade plus que bienvenue nous continuâmes par les kunren à deux agrémentés de quelques libertés permises par le décorum estival.
La fin du stage s’est terminée par la traditionnelle troisième mi-temps, au bar du camping, avec une bonne bière bien fraîche. Rien de mieux pour la récupération selon la majorité des stagiaires.
Comme à l’accoutumer, avec le groupe campbonnais, je laisse libre la tribune pour exprimer leurs ressentis et donner leurs impressions. Particulièrement à une personne qui a déjà manqué deux compte-rendus. (aucun message subliminal à Barbara qui se reconnaîtra;–))
Ici, quelques photos du stage.
Bonjour Christophe,
Tout d’abord, merci pour le temps que tu nous as consacré alors que tu étais en vacances.
Pour moi, un très bon mini-stage, avec des précisions bien utiles sur le push-out, au niveau de la « rotation » des jambes, qui aident à visualiser.
La découverte de nouveaux exercices valait à elle seule le déplacement. Les exercices avec torsion du buste et shintaijiku vont s’ajouter à ma liste d’exercices -plus ou moins- réguliers. J’ai aussi pu constater l’importance du juuji dans l’aunkai à travers tous ces nouveaux exercices.
Dernier point, et non des moindres : pratiquer les pieds dans l’eau, ça change très agréablement du dojo classique !
Attendant le prochain stage dans la région.
Tanguy